E. Beverly Richardson In love with her guy ♥
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| Sujet: FONDA && a bad bad girl who wants to play Mer 14 Déc - 0:34 | |
| E. Beverly Richardson Né(e) le 15 Juillet 1988 à Charlotte •• strip-teaseuse et serveuse au Hump Bar •• Orientation sexuelle •• En couple •• Civilians « Bev ramène toi regarde ! » J’accours, j’ai seize ans et ma mère veut me montrer sa robe de mariée. Ouais, le divorce e mes parent, ça m’avait fichu un coup, là, ma mère se remariait et je voyais mon père sombrer à cette idée. Dur de s’imaginer tout de même que mes parents, n’étaient plus ensemble et que ma mère refaisait sa vie. « Ma princesse, n’oublie pas, papa sera toujours là, ok ? Quoi qu’il arrive ! » Et il m’avait serré dans ses bras. S’il avait su à quel point je ne le croyais pas. Dans ma tête, il me laissait. J’avais pleuré. Aujourd’hui j’essayais des robes de demoiselle d’honneur, elle cherchait la robe de ses rêves. Je ne savais pas si je devais me réjouir ou pleurer. Ca avait été long pour m’adapter. Mes parents avaient été – à mes yeux – le couple idéal. J’ai su plus tard – quand j’étais capable de le digérer que mon père, mon héros, avait été l’infidèle. Un choc pour une jeune femme en voie de construction. J’avais fini par le pardonner, quand j’avais vu à quel point ça le détruisait. « Bev.. T’y crois au grand amour ? » Me demandait ma meilleure amie assise sur le bar alors que j’avais dans mes main un plateau vide. « Nan. Regarde ce que ça a donné avec mes parents.. C’est juste un rêve. Le jour où tu te réveille, t comprends à quel point t’étais naïf d’y croire. » J’avais envoyé mes cours se faire voir, pas mon truc. Mes parents pensaient que c’était à cause du divorce, peut être après tout. Ma façon à moi de faire le deuil du mariage de mes parents, du bonheur..
Ce job de serveuse, c’était le job normal, celui qui payait ma nourriture et tout ce qui s’ensuit. Pour ce qui est de l’autre job, c’était pour le plaisir, peut être une sorte de rébellion, contre tout ça, contre la société. Un brun en colère pour tout et pour rien. Je ne pigeais pas. Comment vais-je pu être si idiote. L’amour, c’est pour les gens simples d’esprit non ? Stripteaseuse, un brun exotique, un brun sauvage, c’était moi, sur la scène. Attention, je n’enlevais jamais la culotte, à mon sens, le reste suffisait. Et puis un soir, ma vie a pris un tournant que je n’avais envisagé. Un moment comme ça, ça ne s’oublie pas, encore aujourd’hui, j’en ris. Un groupe de mec arrivent, suivit par plusieurs autres. Des militaires. Le hum bar est situé juste à côté d’une base, alors c’est là qu’ils viennent souvent. Je prends mon calepin et la petite brune en mini short arrive vers le premier groupe. Je ne l’ai pas avoué, et je ne comptais pas lui dire un jour, mais quand j’ai croisé ses yeux, je n’ai pas pu les lâcher. Pourtant, le pauvre, il l’a senti passer.. « Que puis-je vous servir messieurs ? » Là il me sort son baratin. Je suris. Je me retiens, non Bev, t’en a déjà claqué un la semaine dernière, fais gaffe. « Première fois hein ? » que je lui envoie. Je suis sur mes gardes. Parce que qu’il a un putin de charme et des yeux rieurs, que je me jetterais à son coup.
Ses potes commencent à dire les malins, je lève les yeux au ciel et souffle. Longue soirée, si vous voulez mon avis. Je commence à m’en aller et là le type me dis « Attendez, et nos commandes ? » Je souris et lui montre mon majeur. Celui là, il l’a cherché. « Bev retournes y et vite » que me sors Sacha visiblement pas ravie de mon attitude. « Ils me gonflent, c’est blague nulle sur blague nulle assaisonnée d’un sourire débile.. » Elle me fait signe d’y aller. Et voilà qu’il me parle de permission et d’Irak.. Ils pensent tous que juste parce qu’ils vont peut être crever, ils peuvent se serrer une fille avant de partir. J’ai une tête à m’envoyer le premier venu ? Quand j’ai envie, c’est moi qui drague, pas l’inverse ! « Vous avez toujours une façon si pitoyable de draguer ? Manque de bol, je n’ai pas envie de passer une minute avec vous.. » Que je lui rétorque souriante. Il me demande si c’est la première fois que j’entends ces sornettes. « Autant qu’il ya de soldat dans le coin. » Il demande ce qu’il faut pour décrocher un rendez vous. « Mon genre de mec ? Intelligent. Désolée. Ah oui et le moins « lourd » possible. » Dois je rajouter, ça n’a pas l’air d’être ton cas, ou il a compris ? Il me parle d’un pari, j’ai qu’une envie, fuir. Il est ennuyeux, et marrant à la fois. J’ai dis marrant ? Moi jsuis pas dans la merde. Il finit par me demander à quelle heure je finis. Je souris. Again. « Très tard. » Ce n’est pas un non, c’est pas un oui, mais dans ses yeux, je sais qu’il sera là. Et le pire, c’est qu’à ma fin de service, il m’attend devant la porte, le sourire coincé sur ses lèvres, et je sais une chose, jsuis cuite. Définitivement.
On a fini la soirée chez moi. Je ne peux pas le nier, j’ai aimé ses bras, j’ai aimé qu’il soit en moi, j’ai adoré. Mai moi et l’amour, on se voue une haine. Pas question que je le laisse me piéger. Jamais. Alors je me lève alors qu’il dort. On dirait un ange, et cet ange, faut que je le laisse. Je me prépare, il ouvre un œil, j’ai plus que ma jupe à enfiler. « Tu pars d’jà ? » Qu’il me demande. Je baisse la tête, reprend un regard froid et lui réponds. « A mon retour, j’espère que tu n’seras plus là ? » Je file, ma jupe enfilé, mes clé prises et je grimpe sur ma moto. Ce mec, jle reverrais pas, et c’est mieux ainsi. Manque de bol, il est tenace. Il revient le lendemain, un salut en poche. Je le calcule pas, je suis occupée, je continue mon service. Il blablate, je continue à le regarder blasée, sans un mot. Il parle tout seul le type. Je me marre. « Moi en revanche c’était juste pour ça.. Désolée, le romanisme jl’ai oublié dans mes chiottes. » Il me ressort son baratin – ce mec s’épuise donc jamais ? – et me donne un horaire. Il repart. Grand bien me fasse ! Je le laisse filer. Une partie de moi envoie paitre ces idées qui me viennent à l’esprit. L’autre partie se pointe à 15h et l’embrasse avant son départ. Cette partie là m’a finalement corrompue tout entière. Et merde. Saleté de militaire.
Ca fait plusieurs mois qu’on est ensemble à présent. Hier soir, il a sauté sur des types qui me reluquaient.. Il veut que j’arrête mon job de stripper. Il en a marre, il supporte plus. C’est bien ma veine, jtombe sur un jaloux. Je chope son torse de mes mains, mes bras l’enlacent. Je me relève, embrasse sa tête et je pose ma tête dans sa nuque. « Vu ce que ça a donné hier..Je veux bien comprendre mais..J’aime ça moi.. Ils peuvent reluquer hein, t’es le seul à pouvoir toucher. » J’ai entendu future femme t mon cœur se serre. Me marier ? Il est dingue ? Je le tourne, le regarde droit dans les yeux. Putin, ce con est sérieux. J’ai envie de dire que ce ne sera pas la peine, que je dirais non toute façon. Il repart et mon cœur est au bord de l’explosion. Jm’étais jurée, pourtant, jpeux pas le nier, j’aime ce sac à puces qui m’abandonne encore. La pression, jl’ai, parce qu’à tous les coups, il va me lâcher, si je dis non. En plus de la peur qu’il ne revienne pas, j’ai peur de ne plus revoir ses bras. Dans les deux sens, jsais pas si c’est bon pour mon cœur tout ça. « Tu pars à quelle heure bébé ? » Que je dis en caressant ses petites mains abîmées.. Pas envie d’y songer, juste de profiter. Je me love dans ses bras, pose ma tête contre son torse et voilà, j’ai mon gros nounours, et si jpouvais faire quelque chose, il irait nulle part, et je quitterais pas ce refuge..
Arya C •• 24 Ans •• Présence sur le forum : 7/7 •• Le fo rocks XD •• Megan Fox •• Tumblr. |
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